La Désintégration.

Publié le par Harmmakis Nox

Affiche du film La Désintégration (réalisé par le Français, né au Maroc, Philippe Faucon, en 2011). A gauche, sur la photo du haut, au centre et au premier plan, on peut voir Djamel, le recruteur salafiste, joué par le Français Yassine Azzouz. Derrière lui, à sa gauche, avec la calotte blanche, on peut apercevoir le converti à l'Islam, Hamza, interprété par le Français Ymanol Perset. En dessous, il y a trois photos de petites tailles sur lesquelles on peut distinguer le futur terroriste islamiste Ali Aousi, incarné par le Français d'origine maghrébine Rashid Debbouze; une femme voilée qui n'est autre que sa mère, dans le film (jouée par Zahra Addioui) et sa soeur (jouée par Keltoume El Hanafi). Sur la photo du bas, sont présents quatre hommes, dans une forêt, à l'abri des regards. On reconnait Hamza, crane rasé, déterminé, qui s'entraine au tir au pistolet. Il y a également Ali, barbu. Derrière les deux hommes, on retrouve Djamel, l'élément religieux du groupe. Et enfin, on note la présence d'un quatrième homme qui doit superviser les opérations. Sur la partie droite de l'affiche, il y a une seule photo, mais de grande taille, où l'ont voit les visages graves d'Ali et de Djamel sur fond bleu, blanc, rouge en partant de la droite, fond qui rappelle le drapeau français. En fait les couleurs du drapeau français sont inversées. Ce qui a un rapport avec le titre du film. Ces jeunes ne vivent pas l'intégration à la France, mais bel et bien la désintégration.

Affiche du film La Désintégration (réalisé par le Français, né au Maroc, Philippe Faucon, en 2011). A gauche, sur la photo du haut, au centre et au premier plan, on peut voir Djamel, le recruteur salafiste, joué par le Français Yassine Azzouz. Derrière lui, à sa gauche, avec la calotte blanche, on peut apercevoir le converti à l'Islam, Hamza, interprété par le Français Ymanol Perset. En dessous, il y a trois photos de petites tailles sur lesquelles on peut distinguer le futur terroriste islamiste Ali Aousi, incarné par le Français d'origine maghrébine Rashid Debbouze; une femme voilée qui n'est autre que sa mère, dans le film (jouée par Zahra Addioui) et sa soeur (jouée par Keltoume El Hanafi). Sur la photo du bas, sont présents quatre hommes, dans une forêt, à l'abri des regards. On reconnait Hamza, crane rasé, déterminé, qui s'entraine au tir au pistolet. Il y a également Ali, barbu. Derrière les deux hommes, on retrouve Djamel, l'élément religieux du groupe. Et enfin, on note la présence d'un quatrième homme qui doit superviser les opérations. Sur la partie droite de l'affiche, il y a une seule photo, mais de grande taille, où l'ont voit les visages graves d'Ali et de Djamel sur fond bleu, blanc, rouge en partant de la droite, fond qui rappelle le drapeau français. En fait les couleurs du drapeau français sont inversées. Ce qui a un rapport avec le titre du film. Ces jeunes ne vivent pas l'intégration à la France, mais bel et bien la désintégration.

Un résumé du film qui date du mois de décembre de l'année 2015.

La Désintégration (Philippe Faucon, 2011), bon film qui traite de l'Islam radical en France.

Djamel, un homme charismatique (joué avec talent par l'acteur Yassine Azzouz) recrute Ali Aousi (incarné par le frère de Djamel Debbouze, Rashid Debbouze, convaincant), Nasser (Mohamed Nachit) et Hamza (un converti joué par Ymanol Perset, juste).

Le film met trop l'accent sur les discriminations et le racisme dont sont victimes ces jeunes musulmans et pointe à peine du doigt l'endoctrinement religieux.

Les trois jeunes, originaires de l'agglomération lilloise, commettent à la fin du film un attentat en partie raté au siège de l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique nord) à Bruxelles.

Très actuel.

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