Conquêtes : de la guerre à la femme.

Publié le par Harmmakis Nox

Mosaïque d'Alexandre représentant Alexandre le Grand, roi de Macédoine, chevauchant son cheval Bucéphale à la bataille d'Issos le 1er novembre, en l'an 333 av. J.-C. Le lieu de la bataille se situe près de l'actuel İskenderun en Turquie. Elle oppose l'armée d'Alexandre le Grand (ou Alexandre III de Macédoine) à celle de Darius III. L'armée macédonienne remporte une victoire décisive sur l'armée perse pour la première fois commandée par Darius en personne. La mosaïque de la bataille d’Alexandre est une mosaïque de sol découverte en 1831 à Pompéi (ville de l'Empire romain, située en Campanie, en Italie) dans la maison du Faune.

Mosaïque d'Alexandre représentant Alexandre le Grand, roi de Macédoine, chevauchant son cheval Bucéphale à la bataille d'Issos le 1er novembre, en l'an 333 av. J.-C. Le lieu de la bataille se situe près de l'actuel İskenderun en Turquie. Elle oppose l'armée d'Alexandre le Grand (ou Alexandre III de Macédoine) à celle de Darius III. L'armée macédonienne remporte une victoire décisive sur l'armée perse pour la première fois commandée par Darius en personne. La mosaïque de la bataille d’Alexandre est une mosaïque de sol découverte en 1831 à Pompéi (ville de l'Empire romain, située en Campanie, en Italie) dans la maison du Faune.

Une réflexion du 6 mai 2006 et un poème du 8 octobre 2005.

Ce texte court, mais révélateur de mon état d'esprit à l'époque, mélangeait étroitement la guerre, les conquêtes et les femmes ou plutôt la femme.

Napoléon, personnage historique controversé (notamment pour avoir rétabli l'esclavage des Noirs en 1802 en France) , n'a t-il pas dit un jour "pour conquérir une femme, c'est comme pour gagner une bataille, il ne faut pas attaquer de front, il faut contourner".

Attention, je ne glorifie pas la guerre, je suis moi-même un fervent pacifiste et humaniste (pas naïf cependant, qui plus est, parfois pour arriver à des situations de paix, il faut user de la force pour casser l'ordre établi et l'injustice, ainsi le combat de Che Guevara est le mien par exemple), néanmoins je demeurais fasciné par Alexandre le Grand, grand stratège qui conquit bien des cœurs et des esprits (même si il a commis des atrocités, mais qu'il faut bien entendu retracer dans le contexte antique), et ce à quoi je pensais en visionnant ce film épique, était la conquête d'une belle femme, la grande romaine aux cheveux d'or (ce projet est toujours d'actualité, et le sera pour longtemps).

Nous sommes le samedi 8 octobre 2005, il est deux heures du matin et voici le poème :

Samedi 8 octobre, il est deux heures du matin, impossible de la joindre, portable coupé, après deux tasses de thé, je vais mater la télé, après le DVD d'Alexandre le Grand, voici Bush le mécréant sur les écrans.

Alexandre le Grand, conquérant ambigu, acclamé dans les avenues de la grande Babylone...

Impossible de ne pas être fasciné par ce personnage, il est vrai, mauvais par de nombreux aspects. Aujourd'hui, Babylone, Bagdad est la proie des bombes et du sang, comme l'est encore l'Afghanistan. Le chaos s'installe dans l'ancienne Mésopotamie, les envahisseurs sont désormais honnis. Ma gorge m'irrite, ma barbe frise et mon cœur s'enlise...

C'est bien elle que je veux, même si elle aime bien se faire plaisir à droite et à gauche.

Un jour, moi aussi je serais acclamé comme l'a été ce rêveur et je serais avec ma reine.

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