Coupe du monde 2006 : finale France-Italie.
Le joueur de football italien Marco Materazzi, touché au torse, tombe suite à un coup de tête du joueur français Zinédine Zidane lors de la finale de la Coupe du monde 2006. Materazzi venait d'insulter Zidane.
Voici mon point de vue, qui date de juillet 2006, concernant la finale de la Coupe du monde de football qui oppose la France à l'Italie le même été.
Rappelons que c'est l'Italie qui en est sorti vainqueur aux tirs au but (5 à 3) alors que les deux équipes étaient à égalité 1 but partout après les prolongations.
"La victoire italienne en finale de la Coupe du monde contre la France se résume en deux mots : Buffon et Barthez.
L'Italie possède un très bon gardien, le meilleur gardien du monde, Gianluca Buffon, tandis que la France possède un gardien très moyen, Fabien Barthez, qui ne méritait même pas d'être sélectionné comme remplaçant et donc de participer à cette Coupe du monde.
On ne va pas refaire l'histoire, ce serait non avenu, mais il est fort probable que des dizaines de gardiens de but de tous pays et de tous continents parviennent à arrêter le but italien, aussi bien des remplaçants que des titulaires (une tête puissante de Materazzi certes, mais placée sur Barthez, incapable de tenir sur ses jambes et de ne pas être apeuré par le ballon, incapable de se détendre donc pour dévier le ballon en corner au pire, alors que bien entendu Grégory Coupet, goal remplaçant de l'équipe de France l'a sans trembler).
On remarquera que sur d'autres actions dangereuses de la Squadra Azzurra, Barthez était battu mais sauvé une énième fois par sa défense exceptionnelle à l'image de Lillian Thuram ou par de la réussite (tête sur la barre, coup franc juste à côté, et but légèrement hors-jeu des joueurs italiens), alors qu'à la différence, le portier italien a réalisé une nouvelle fois un grand match, ponctué de deux très beaux arrêts notamment sur une tête puissante de Zinédine Zidane en fin de match et d'une très belle sortie sur un coup franc.
En résumé :
la France a perdu à cause de Barthez."