Coupe du monde 2006 : France-Brésil.
Le joueur de football français Zinédine Zidane au milieu des joueurs brésiliens Juninho Pernambucano (n°19) et Gilberto Silva (n°17) lors du quart de finale de la Coupe du monde 2006.
Un résumé qui date du 2 juillet 2006 concernant le match de football, la veille, entre l'équipe de France et l'équipe du Brésil lors de la Coupe du monde qui a lieu cette année là en Allemagne.
"Finalement je me rends compte en me réveillant ce matin que j'étais pour le Brésil lors de ce quart de finale (France-Brésil) quand je vois que la Seleção n'a même pas joué à 50 pour cent de ses capacités, elle n'a en fait pas joué (sauf les 10 premières minutes et les 15 dernières après la rentrée de Robinho).
Le Brésil est passé à travers sans doute à cause de la défaite de 1998 qui restait encore dans les mémoires, de l'entraineur également, à l'inverse, la France a bien joué tactiquement, physiquement, sans oublier la technique magique de Zidane et le réalisme de Henry, mais c'est plus le Brésil qui a perdu que la France qui a gagné.
Aussi, je regarderai avec moins d'attention la suite de la compétition après les éliminations de l'Argentine et surtout du Brésil si tôt car les plus talentueux ne seront pas au rendez vous en finale, je suis déçu par cette Coupe du monde.
Zidane est le meilleur joueur français, c'est le seul qui ait un jeu qui fait rêver dans l'équipe de France, un jeu à la brésilienne justement, les autres sont des gagneurs genre à l'allemande d'avant mais c'est pas très beau à voir."
Voici quelques lignes du journal Le Parisien qui résument en grande partie la victoire française :
"Si le Brésil a complètement manqué son match, il le doit avant tout à la désastreuse option tactique prise par son entraineur Carlos Alberto Parreira.
Alors QU'IL AVAIT TOUJOURS DIT QU IL NE CHANGERAIT JAMAIS SON SYSTEME DE JEU, IL A HIER DECIDE DE PASSER DE SON 4-4-2 A UN INEDIT 4-3-3 avec un premier triangle défensif Juninho-Gilberto Silva-Zé Roberto.
Puis un second offensif Ronaldinho-Kaka-Ronaldo.
Résultat : personne n'a su mener le jeu pour alimenter les hommes de l'attaque et BARTHEZ N'A QUE TRES RAREMENT ETE INQUIETE.
LES ENTREES EN JEU D ADRIANO (63eme) ET SURTOUT DE ROBINHO (79eme) ONT ETE BEAUCOUP TROP TARDIVES."
"p.s. : ma sœur était également pour le Brésil : "bégère" (ainsi que mon père)."
Néanmoins, je supporterai bien entendu la France contre le Portugal, idem si Les Bleus vont en finale, ça va de soi."